REPAS D’EXCEPTION……EXCLUSION ET PROVOCATION!

«Un repas d’exception fut servi dans le cloître de la mairie……les adjoints furent
invités à participer en payant leur repas…..ce fut un moment de grâce dans undécor époustouflant….».img-0392
Ces mots, ces appréciations dithyrambiques, sont signés par Madame Claire
DUPRAT-adjointe au maire de Saint-Sever- dans le blog au titre parfumé, expression
de la pensée officielle de la majorité municipale. Mis en ligne en début d’après midi
samedi 4 juillet, la sieste portant conseil ou peut être Monsieur le Maire ayant considéré sa vanité débordée, ce texte fut édulcoré en fin de soirée.
Trop tard, «Le Second Regard» avait tout vu, tout enregistré, comme est imprimé derrière ces mots grandiloquents l’état d’esprit qui anime la nouvelle
municipalité de Saint-Sever.
Les corrections tardives et maladroites ne changent pas le fonds de la pensée.
Explications!
En fait de «repas d’exception»
, il ne s’agit pas d’un repas dans le cadre d’une journée gastronomique du genre Festivolailles ou Fête du Foie Gras, pas davantage du repas d’un club service genre Rotary ou Lion’s.repas-22
Non, il s’agit du repas inscrit traditionnellement dans le cadre de la journée taurine du dimanche des fêtes.
Depuis des années ce repas se déroulait au pied des arènes, sous les ombrages,dans le cadre bucolique de Morlanne. S’y croisaient pèle mêle 3 à 400 personnes, les maires de la communauté et ceux des chefs lieux voisins, les entreprises partenaires, le mayoral des arènes ou autre personnalité taurine, et aussi les simples amoureux de la
tauromachie ou de la fête. Point de repas d’exception sur les tables, soit un «repas-plateau» pour les uns, soit un «menu amélioré» pour les autres, mais surtout un esprit de fête, avec pour maîtres mots :
L’ouverture, le partage, la convivialité.
.
Cette année, rideau, on divise!
Loin des arènes, on tire les grilles du cloître de l’abbaye et va donc pour le fameux repas d’exception. Sans «le petit peuple» renvoyé partager sa modestie dans son coin du côté des Jacobins.
Durant des années, nous avons eu la naïveté et la fierté de croire que les fêtes, à Saint-Sever comme ailleurs, étaient un moment privilégié dans l’année, l’espace de quelques jours pour oublier les soucis du quotidien, estomper les différences
d’opinions ou sociales, durant lesquels tombaient costumes, cravates ou cols empesés.
Ce temps là est révolu à Saint-Sever. Les élus changent, les valeurs aussi.
Et que dire des adjoints qui voudraient s’excuser de leur présence! Sans doute se
sentent ils gênés d’avoir, 5 jours avant les fêtes de la Saint-Jean et ces agapes prestigieuses, voté l’augmentation de 10% du prix des repas à la cantine scolaire et ceux de nos aînés en maison de retraite ou portage à domicile. Ici il ne s’agit pas du repas d’exception, mais bien du repas de tous les jours.exclusion
Aussi, quand l’inénarrable Madame Duprat parle de repas d’exception, nous, nous y voyons un repas d’exclusion et des commentaires aux allures de provocation !!

SAINT-JEAN 2015, QUAND LES PENAS DERANGENT !!!

Les fêtes de la St Jean 2014, les premières sous la mandature du maire Arnaud Tauzin, furent marquée par l’image d’une ville transformée en forteresse, bunkérisée, sur-sécurisée. Il fallait repousser loin des vieux remparts ces hordes de jeunes écervelés, pas les nôtres évidemment trop bien élevés, mais ceux venus des contrées lointaines de Chalosse, du Marsan ou du Marensin!!!1910378_010_9412126_800x1167p

L’opposition municipale s’émut en son temps de cette situation, via les réseaux sociaux et en conseil municipal. Si cette critique, positive, fut officiellement contestée par monsieur le Maire, soulignons qu’elle a été en partie prise en compte pour l’organisation de la Saint-Jean 2015. Les murailles ont reculé, quelques espaces de circulation ont été rendus aux résidents et festayres.

La Saint-Jean 2015 s’annonçait donc sous de meilleurs auspices.

Hélas! Après les jeunes en 2014, un nouvel adversaire a surgi en 2015!

L’ennemi a un nouveau visage, il est à l’intérieur, il faut mettre au pas les penas, ces trublions profitant plus que de raison de la fête, privant le comité des fêtes de bras et de ressources financières.

425062_101807226612641_758459317_n

Début juin, à quelques jours de l’ouverture des fêtes, la charge de la municipalité fut lourde, sans ambiguités: lettre comminatoire, signature d’une charte, rappels au règlement, obligations de fournir de la main d’œuvre au comité des fêtes et de nourrir les bandas, sans compter le commentaire ironique, en forme de réquisitoire sournois, de Madame DUPRAT – adjointe au maire, sur son blog au titre parfumé mais aux odeurs nauséabondes. Décidement, cette dame à un problème avec les associations.

pena jeune aficion

C’était limpide, les penas dérangeaient!

Et encore une fois, faute de savoir rassembler, M. TAUZIN et son équipe ont eu recours à un autoritarisme déplacé, stigmatisant de fait une partie des acteurs de la fête qui ne seraient donc que des enfants gâtés, irresponsables profiteurs de la fête.

Or les adhérents des penas sont de vrais amoureux de leur ville de Saint-Sever.

la bodeguita

Jeunes ou moins jeunes, par delà les différences d’opinions ou de catégories sociales, dans leur style propre, parfois décalé ou carrément déjanté, en fonction de leurs affinités, ils n’ont qu’une envie: être acteurs, faire vivre et partager leur culture de la fête et la convivialité de leur ville.

M.TAUZIN, Mme DUPRAT, ces associations méritent le respect, pas les brimades!

Vivement la Saint-Jean 2016!

EN AVANT LA MUSIQUE !!!

url

M TAUZIN a décidé de supprimer l’apprentissage de la musique à SAINT-SEVER.
La raison invoquée ? Le manque d’argent pardi !
Pensez-donc, l’adhésion au conservatoire départemental, c’est 80 000 € par an pour la commune !
La solution ? La création d’une nouvelle association musicale à Saint-Sever.

Saintsever Unautreregard a pu se procurer l’invitation à la réunion d’information prévue le samedi 6 juin 2015 à 11h dans les locaux de l’école Daniel Balavoine.

Première surprise, l’invitation est faite par courriel et signée par un Président qui a la drôle d’idée d’utiliser la messagerie du mari d’une adjointe de M TAUZIN…

Deuxième surprise, on y apprend que : Une association vient d’être créée avec pour seul but l’accès au plus grand nombre à l’apprentissage de la musique et que cette offre est complémentaire de celle existante aujourd’hui dans le cadre du Conservatoire des Landes ». Il est même prévu de proposer « un tarif aux familles dans l’esprit de permettre au plus grand nombre de rejoindre cette association ».

Troisième surprise, ce message n’est envoyé qu’aux familles bénéficiant des services du Conservatoire alors qu’on parle « du plus grand nombre de familles ».
Il aurait été logique que l’ensemble de la population soit informé…
A l’évidence, ce n’est pas le cas…

orchestre-R-l-ves_large

Ainsi donc, l’accès au plus grand nombre à la musique ne serait pas assuré à Saint-Sever?
Bandas, Harmonie et autres structures musicales apprécieront !

Au final, quel est le but de cette manœuvre politicienne de M TAUZIN?

1) Faire des économies auprès du conservatoire départemental dont la qualité d’enseignement ne fait aucun doute.

2) Mettre au pas les associations musicales locales qui ont le malheur de ne pas penser comme M la Maire

Saintsever Unautreregard ne manquera pas de diffuser dans quelques jours le courrier de réponse du conservatoire départemental à M TAUZIN pour rappeler les conditions de RETRAIT du Conservatoire.
C ETAIT LA DEMANDE DE M TAUZIN : Arrêter l’apprentissage de la musique pour les saint-séverins !

Voilà la cruelle réalité !
M TAUZIN restera définitivement comme le fossoyeur de tout ce qui a fait la richesse de notre ville, musique en tête !

Nous invitons l’ensemble de la population à manifester son opposition à cette entreprise de démolition en venant nombreuses et nombreux, samedi matin à cette réunion.

M TAUZIN osera t-il expliquer aux familles qui bénéficient des services du Conservatoire départemental que la mairie ne versera plus un centime d’aides?
M TAUZIN osera t-il expliquer que la musique coûte trop d’argent aux finances communales , « Qu’il n’y a plus d’argent, que les caisses sont vides »…?
M TAUZIN avouera t-il que le seul but qui l’anime, c’est casser la culture ?Ecole-de-musique_medium

Quitter le Conservatoire, c’est se trouver dans l’impossibilité de donner l’accès à la musique POUR TOUS.

Créer une nouvelle association musicale à la botte de M TAUZIN, c’est tuer les autres associations existantes !

Le fossoyeur culturel est à l’œuvre. STOPPONS LE !

La culture musicale est une vraie richesse pour notre territoire. La musique est notre patrimoine.

Parents, refusez ce diktat ! Exigez de M TAUZIN de continuer à payer pour la culture musicale!
Si M TAUZIN veut faire des économies, qu’il licencie son chef de cabinet aussi inutile que couteux (49 000 € par an). Qu’il n’embauche pas un nouveau directeur pour la Mairie (60 000 € par an) alors que son dernier directeur, qu’il a licencié le 31 mars dernier, continue à être payé aux frais du contribuable pour près de 100 000 € par an !

Samedi matin, espérons que la culture triomphera de la bêtise de notre Maire…

IL SE VOIT DEJA ♫♫♫… EN HAUT DE L’AFFICHE ♫♫♫♫ ….

Il en rêvait, le Père Noël a exaucé ses vœux.

9 mois de mandature et déjà il s’y croit, il l’écrit.

M.TAUZIN, maire de Saint-Sever, PRESIDENT de la communauté de communes du Cap de Gascogne.

Plus c’est gros, plus ça passe, il fallait seulement oser, il l’a fait.lettre d'invitation aux voeux

M. PRUET et l’ensemble des élus communautaires apprécieront…

Voilà une imposture que nous n’aurions pas osé imaginer.

Mais soyons rassurés, M. le Maire va clamer son innocence, invoquer l’erreur administrative de son cabinet.

Car ne nous y trompons pas, M. le Maire n’a pas l’étoffe des héros.

Il l’a démontré lors du dernier conseil municipal quand, à l’heure de présenter pour la deuxième fois (eh oui!) en moins d’un mois la délibération relative à la hausse scandaleuse des tarifs municipaux, il n’a pas hésité à «charger», sans vergogne aucune, le Directeur Général des Services.

Partir à la guerre avec un général capable de vous tirer dessus à la moindre escarmouche voilà qui n’est pas très rassurant!

Qu’il charge son cabinet, c’est pour le moins inélégant mais c’est lui qui l’a choisi.

En tout cas, on peut s’interroger sur l’utilité, la compétence et le coût de cette lubie.

Rappelez-vous, sous la précédente mandature, un seul employé était le collaborateur de M. DALM.

Aujourd’hui M.TAUZIN, qui veut jouer dans la cour des grands, s’est entouré d’un collaborateur de cabinet et d’une secrétaire.

Nous avons déjà dénoncé le coût de ce caprice: 50.000 € supplémentaires par an à la charge du contribuable!

Nous vérifions une nouvelle fois que l’efficacité n’est toujours pas au rendez-vous, mais faut-il s’en étonner?

M le Maire, il vous appartient, à vous et à votre «armée» de huit adjoints et trois conseillers municipaux délégués, TOUS REMUNERES, de veiller à la bonne marche administrative des services municipaux, administratifs ou techniques.

En un mot que chacun se mette et fasse son travail…enfin!

Les saint-séverins en ont assez d’être les marionnettes d’une stratégie politique qui ne vise qu’à satisfaire votre ambition personnelle.86506968marionnettes2-light-jpg

Plutôt que de revendiquer le titre de Président de la communauté de communes, montrez-nous plus humblement, et vite, que vous êtes capable d’assumer votre rôle de maire, de conseiller régional et de vice-président en charge des finances à la communauté de communes.

Sur ce dernier point, nous vous rappelons d’ailleurs que nous sommes toujours en attente de la réunion de cette commission qui devait expliquer les chiffres farfelus annoncés lors du dernier conseil communautaire pour justifier l’abandon de la médiathèque et de la salle.

Quand allez-vous enfin nous prouver la véracité de ces chiffres?

L’absence de réponse de votre part est bien la preuve de votre mensonge et de votre imposture, dans le droit fil des questions restées sans réponse au sujet de l’audit financier de la commune.

Et ce n’est pas Mme DUPRAT qui nous convaincra que cette commission des finances s’est réunie puisqu’elle n’a jamais eu lieu!

Finalement, ce courrier n’est qu’un acte manqué supplémentaire.

A croire que le vertige du pouvoir a déjà emporté notre édile.

Désolant.

 

LA COURSE LANDAISE ….. A L’ECART!!!

cpte rendu CA- 2.1014-de la FFCL (page 2)«…..La remise des prix était initialement prévue lors de Festivolailles, mais le Maire de Saint-Sever a refusé.» (source: La Cazerienne. L’officiel de la Fédération Française de la course landaise; N°148 – décembre 2014 – compte rendu de la réunion du conseil d’administration de la FFCL du jeudi 2 octobre 2014).

Comme la musique a ses «Victoires», le cinéma ses «Oscars» et ses «Césars», la course landaise honore chaque année ses acteurs les plus méritants lors d’une cérémonie de remise des trophées rassemblant toute la grande famille de la course landaise: écarteurs, hommes en blanc, ganaderos, dirigeants, organisateurs de courses.

Cette cérémonie est placée sous le patronage d’un partenaire majeur de la Fédération. En 2013, Les Vignerons du Tursan accueillirent cette journée à Geaune, en 2014 il revenait au groupe Maisadour de parrainer cette manifestation, comme viendra le tour du Crédit Agricole en 2015.

L’idée d’intégrer cette manifestation au programme des Festivolailles relevait du meilleur goût eu égard au symbole que représente la course landaise dans les valeurs de notre terroir que Les Fermiers Landais et Maisadour s’attachent à mettre en exergue à travers l’organisation des Festivolailles.

Festivolailles_2014

Proposer aux 10 000 visiteurs qui sillonnent notre ville ces deux jours un programme associant la mise en valeur du talent et du courage de nos toreros au savoir faire des producteurs et industriels locaux relevait d’une opération de communication «gagnant-gagnant».

Accessoirement on ne peut ignorer que le Groupe Maisadour, qui contribue à prés de 70% au budget de Festivollailles, est surtout le poumon de l’économie du Cap de Gascogne, son premier employeur sur ses sites industriels de la zone industrielle de Saint-Sever et celle de Haut-Mauco.

Quelle mouche a donc piqué M. Tauzin le Maire de Saint-Sever, pour refuser cet honneur que lui faisaient Maisadour et la Fédération Française de la Course Landaise ? ?

Un problème d’installations disponibles ? L’argument n’est pas recevable.SAMSUNG DIGITAL CAMERA

Le dimanche priorité a été donnée au «tapis rouge» pour accueillir l’ honorable Confrérie des Jabotiers et leurs invités. L’intention est respectable, mais en en terme d’animation on a connu mieux. En effet, seuls les lève tôt auront pu les apercevoir à l’entrée de la messe pour la photo en tenue d’apparat sur le 201389123152anagrama300parvis de l’abbatiale. A l’issue de celle-ci et avant d’aller faire ripaille aux halles, ils se sont engouffrés dans la salle de cinéma où sera notamment intronisé monsieur le Maire. Tiens! tiens! tiens!

Mais le samedi, un chapiteau de 300 m², chauffé, loué pour une somme de l’ordre de 2500 €, était totalement disponible place de la poste. Les arènes étaient également disponibles pour les démonstrations des toreros et le spectacle gratuit aurait assurément passionné les visiteurs.

Eh bien non, M. le Maire en a décidé autrement. C’est une faute ! Grave.

Quand Maisadour et la Fédération Française de la course landaise vous honorent d’une telle proposition, quand on est un Maire responsable, se revendiquant de surcroît fervent défenseur de la course landaise et répétant à l’envi obéir aux règles de gestion de l’entreprise, on ne se crispe pas, on ne refuse pas, on accepte et on s’organise.

Encore une fois, Saint-Sever a passé son tour. En huit mois cela fait déjà beaucoup.

Basket Landes traqué et chassé de manière lamentable, l’encierro de toros rayé de l’affiche sans sommations, sont deux autres exemples symboliques du sectarisme, de la vision étriquée, passéiste et conservatrice du Maire de Saint-Sever.

A quand la mort de Festivolailles ?

Avec tous les discours caricaturaux, négatifs, sur l’état de la ville, c’est l’image de Saint-Sever ville accueillante, dynamique et créative, qui «fout le camp». Les commerçants qui voient le centre ville se vider au fil des jours en mesurent hélas les conséquences.

Épilogue de cette regrettable dérobade du maire de Saint-Sever, Maisadour et la Fédération Française de la Course Landaise ont été accueillis par le village et les arènes de Labastide d’Armagnac lors de l’événement «Armagnac et fête». Bravo à eux.

Suerte coursayres.

 

L’IMMOBILISME EN MARCHE !!!!

Inviter la population à une réunion publique, comme l’a fait M. Tauzin début décembre, pour annoncer fièrement «je ne ferai rien», c’est une conception curieuse de la vie publique et venant du maire de la commune un manque de respect évident.

Beaucoup ont du penser «j’aurai été bien mieux au coin du feu». Et comme disait ma grand mère «quand on a rien à dire, on se tait, et on la ferme……»!

6a00d8341c7daf53ef01a73da86f03970dClamer solennellement ne vouloir rien faire signe un terrible constat d’immobilisme, un évident manque d’ambition et de vision du futur, bref un navrant constat d’incompétence.

M.Tauzin, six ans d’opposition municipale violente, une campagne électorale mensongère et diffamatoire, ne vous auront servi à rien; huit mois après votre élection à la mairie et votre seule conclusion lancée du haut d’une tribune: «je ne ferai rien!».

Un tel propos à de quoi susciter l’angoisse.Immobilisme01

Mais pour nous, une fois passée la surprise d’une telle déclaration, avouons que nous l’avons interprétée comme une bonne nouvelle!

En effet, depuis huit mois, quand M.TAUZIN fait ou décide quelque chose, ça fait mal!!

La liste est déjà longue

    • après une longue et lamentable campagne de désinformation, monsieur le

      maire de Saint-Sever, président de la commission finances de la communauté de communes, a réussi à faire voter l’abandon des projets de construction d’une nouvelle salle polyvalente et de la médiathèque;

      1 200 000 € déjà engagés pour ces projets jetés à la rivière. Les contribuables, vont devoir payer cette dépense sans aucune réalisation en contrepartie;M. TAUZIN, combien de points supplémentaires de taxe d’habitation coûtera cette décision?

  • recrutement d’un collaborateur de cabinet aussi cher (+ 50 000 €) qu’inutile.
  • recrutement d’un chargé de patrimoine (+ 25 000 €), peut être utile, mais pas vraiment urgent.
  • recrutement de personnel chargé des activités périscolaires et de la sortie des écoles (+ 25 000 €); mais que font les adjoints au maire et la police municipale?
  • une première décision modificative du budget votée dès le mois de juin, moins de trois mois après la prise de fonction et le vote du budget, pour intégrer les premiers dépassements des dépenses de fonctionnement (+ 180 000 €).
  • des fêtes de la Saint Jean repensées, avec un résultat populaire et commercial catastrophique, un gros manque à gagner pour nos associations si utiles à notre ville, et nécessité de voter une subvention supplémentaire de 8 000 € pour équilibrer les comptes du comité des fêtes; et on ne nous dit pas tout!
  • suppression de la fête de l’Adour au préjudice là aussi des associations.
  • les fameuses Vasconiales, pâle copie du Puy du Fou et misérable parodie de la reconstitution historique de Saint-Sever, dont nous attendons avec angoisse le vrai bilan financier.lembuchedenoel
  • Cerise sur le gâteau de Noël, fin novembre, M.TAUZIN a fait voter une première vague d’augmentations pharaoniques du prix des services publics (cinéma, piscine, cimetière)au détriment des plus défavorisés d’entre nous.

    En huit mois d’action, le bilan est déjà catastrophique; alors l’annonce de ne rien faire est bien la meilleure nouvelle de cette fin d’année.

    M.TAUZIN, vos premières décisions ont déjà coûté très cher aux saint-severins, surtout ne faites plus rien!

    Résignés, nous assisterons pendant cinq longues années encore au lent déclin de notre commune, à son repli sur soi, à l’abandon de la dynamique de projets qui l’a animée au long des précédentes mandatures.

LES IRRESPONSABLES NE SONT PAS CEUX QU’ON CROIT…

Quelle mascarade que ce conseil communautaire du 10 décembre.
Battu lors du premier vote, le président Pruet s’est empressé de faire voter à nouveau les élus pour emporter la décision de ne pas faire la salle.

Triste épilogue d’une campagne de désinformation orchestrée de main de maître (il faut le reconnaître) par ce président, complice passif (?) du maire de Saint-Sever.
Car, comment ne pas s’étonner devant la complicité évidente de ces deux maires à faire échouer ce projet ?
Alors que tous les vice-présidents avaient fait leur travail en réunissant leurs commissions pour élaborer un projet de territoire pour les 6 années à venir, un seul n’a pas daigné s’atteler à la tâche : M Tauzin, vice-président REMUNERE en charge des finances.
Comment justifier la mansuétude du président Pruet, peu motivé à l’idée d’inciter son vice-président à faire ce travail demandé à tous ?
Avaient-ils peur d’entendre la voix de la contradiction et de la raison l’emporter face aux chiffres farfelus annoncés ?

Le doute n’est plus permis, c’est bien la mort du territoire qui a été programmée et votée ce 10 décembre.

Désormais, les seuls projets portés sur notre territoire durant cette mandature le seront par le SYDEC pour le très haut débit et le Conseil général avec AGROLANDES.
Qui doit-on remercier ? Certainement pas MM Tauzin et Pruet en tout cas.

Ainsi, les élus de la communauté de communes sont tranquilles, ils vont pouvoir faire du tricot pendant 6 ans.
C’est tout ce qui leur reste à faire d’intéressant.

Cependant, une mise au point s’impose et la vérité doit être expliquée aux habitants du canton.
Revenons sur le choix proposé aux élus communautaires.
Une seule information était à leur disposition : 53 % de hausse de la fiscalité en cas de réalisation de la salle, 29 % pour ne rien faire…
Des chiffres tombés du ciel à défaut d’avoir eu de légitimes explications en réunion de la commission des finances…
Certains opposants, sur des blogs plus souffreteux que sulfureux, ont eu beau jeu de faire croire que cette augmentation allait se faire en intégralité dès l’année prochaine : Quelle malhonnêteté ! Quelle ânerie !
Cette augmentation devait être comprise comme étant lissée sur 6 ans.
Qui a expliqué aux maires opposés à la salle qu’une hausse de 29 % sur 6 ans signifiait une hausse de 4.3 % par an ?
Personne !
Qui a expliqué aux maires opposés à la salle qu’une hausse de 53 % sur 6 ans signifiait une hausse de 7.3 % par an ?
Personne !
Pire…
Qui a expliqué aux maires opposés à la salle que la différence entre « ne rien faire » et construire cette salle de 8 M € représentait en moyenne 27 € par an d’impôts de plus pour un foyer fiscal (et non pas par habitant) à AUDIGNON par exemple? (Et ce, avant la prise en compte des abattements fiscaux dont bénéficient les familles avec enfants, les personnes âgées et les foyers aux revenus modestes !)
Personne, encore une fois…

L’effort supplémentaire n’en valait-il pas la peine ?

Imaginez :
27 € par an pour investir dans un besoin avéré.
27 € par an pour préserver l’emploi de son voisin, d’un ami ou d’un proche voire peut-être son propre emploi.
27 € par an pour conserver un club de basket exemplaire qui rappelons-le, s’occupe des jeunes de notre territoire et remplit ainsi un rôle social indéniable.

27 € qui se concrétiseraient par :
8 M € pour le BTP qui supplie chaque jour les collectivités de continuer à investir sur leurs territoires.
8 M € pour soutenir l’activité économique.
8 M € pour créer des dizaines d’emplois directs et indirects.
8 M € pour enfin avoir une salle de sport et de spectacle à la hauteur du dynamisme culturel et sportif du Cap de Gascogne que l’on nous envie partout ailleurs.
8 M € enfin, pour résoudre définitivement les problèmes de locations de salle à Saint-Sever et posséder un lieu digne de ce nom au service de tous.

Bref, il s’agissait ni plus ni moins que de relancer « la machine » pour créer un très bel outil.
Au lieu de cela, pas une seule fois les élus communautaires n’ont pu appréhender sereinement les enjeux financiers, économiques et sociaux de ces hausses annoncées.
En cela, le Président Pruet a failli…

Alors oui,
14 élus ont défendu cette vision audacieuse et constructive du territoire mais n’ont pas pu inverser cette tendance au repli sur soi.
Alors oui,
14 d’entre eux ont fait le choix courageux de l’impôt au service de la relance de l’activité économique pour réaliser ce projet dont tout le monde reconnaît l’utilité.

Malheureusement 15 élus ont fait un choix différent.
La peur pour certains… la collusion pour d’autres… sembleraient l’avoir emporté sur la raison…
Tout cela ressemble à un terrible gâchis.

Malgré tout, des questions demeurent : Comment ces élus opposés au projet ont-ils pu se comporter ainsi ?
Peut-être préféraient-ils que l’argent public finance des chômeurs plutôt que des salariés du BTP ?
Peut-être préféraient-ils épuiser les membres des associations qui en ont plus qu’assez de ne pas pouvoir se réunir ou organiser des manifestations, faute de place dans les structures existantes ?
Peut-être préféraient-ils privilégier tout simplement une vision passéiste du territoire, le « C’ETAIT MIEUX AVANT » ?

On est en droit de le penser devant tant d’étroitesse d’esprit !

Pourtant, bon nombre de ces maires ont eu, eux aussi « la folie des grandeurs » dans leurs propres communes (arènes, salle polyvalente,…) avec des montants d’investissement dont l’impact fiscal par habitant est autrement plus élevé que le projet de salle de basket si décriée.

Faut-il les blâmer? Sûrement pas!
C’était nécessaire et utile à la vie de leurs communes, tout comme est utile cette salle. Ces investissements ont permis d’attirer de nouvelles populations, de redynamiser le tissu associatif.

Alors bien sûr, ce n’est jamais agréable de devoir payer des impôts.
Mais cet impôt, il sert l’avenir de notre communauté, il est un moyen mis à notre disposition pour rendre attractif le Cap de Gascogne, il garantit notre volonté de vivre ensemble, il contribue à sauver des emplois et tant d’autres choses!

Aujourd’hui bon nombre de citoyens se sentent floués.

Pour la première fois, l’absence d’ambition et de projet est érigée en modèle de gouvernance locale pour la commune de Saint-Sever et la Communauté de Communes du Cap de Gascogne.

Notre territoire croyait avoir élu des bâtisseurs, il a enfanté des fossoyeurs. 6a00d810_800x600

Citoyens du Cap de Gascogne, n’oubliez jamais les noms de ceux qui ont voté pour cette gabegie (avec fierté pour certains !) : hausse de 29 % de la fiscalité, abandon de 5 M € de subventions et 1 M € de dépenses engagées en pure perte…

Elle est là, la décision irresponsable prise par une majorité d’élus communautaires !

Et ils seront comptables de leurs actes.

LE COMBAT CONTINUE !

Monsieur le Maire nous fait les poches !!!

Après une dernière salve médiatique dans les journaux, à la radio, en réunion publique, M le maire dévoile son vrai visage.
Lorsqu’on est élu, parler et porter des jugements ne suffit pas. Il faut travailler, décider, et surtout gérer !
Et là, force est de reconnaître qu’en six mois, M le maire a montré ses limites.
Pour preuve, sa dernière réunion publique!

Finies les promesses, bonjour tristesse!
Aucun aménagement urbain pendant 3 ans, aucune réalisation concrète pourtant promise pendant sa campagne de communication électorale!

1cb3b9bc

Alors que notre ville est au point mort depuis le mois de mars, M TAUZIN nous parle des friteuses qui tombent à panne!

QUEL AUDACE, QUELLE VISION!

En un mot: PATHETIQUE!

De qui se moque-t-on?

Après avoir augmenté les dépenses de fonctionnement de 1000 € par jour, M le Maire est aux abois.

Nous lui donnons un conseil de gestion: puisque rien ne se fera pendant sa mandature, nous lui proposons de supprimer ses indemnités de fonction ainsi que celles de ses adjoints!

Quand on ne fait rien, on ne perçoit rien!

Citoyens de Saint-Sever, l’état de grâce est terminé, les belles promesses s’envolent, M le Maire va maintenant vous présenter la note!

Fini le citoyen, fini l’usager, place aux clients!

Les saint-séverins doivent désormais payer le service public au prix de revient!

M TAUZIN le déclare sans ambiguïté devant le conseil municipal: «Il faut gérer la ville comme une entreprise!»40689764conseilfinancemententreprise-jpg

A la trappe, la solidarité intergénérationnelle!

Aux oubliettes, la solidarité au service des plus fragiles!

Encadré par la vieille droite saint-séverine conservatrice et nostalgique, intoxiqué par le discours sarkoziste libéral, M le maire bannit le mot SOLIDARITE de son vocabulaire et de notre cité!

Illustration concrète de ce propos, lors du dernier conseil municipal, M le Maire a fait adopter l’augmentation d’une première liste de tarifs municipaux.

Trois exemples simples vous montreront le chemin sur lequel nous conduit M TAUZIN.

Vous avez envie de vous détendre après une journée de travail en allant voir un film à la salle de cinéma Média 7?

Prévoyez 10% supplémentaire dans votre porte-monnaie!

Vos enfants ont l’habitude de fréquenter la piscine municipale?

Désormais il vous en coûtera 50% de plus pour acheter votre ticket!

Vous souhaitez reposer au cimetière aux côtés de votre conjoint?

Il vous en coûtera 1 040 €, 540 % d’augmentation (191 € jusqu’alors).

Tout simplement exorbitant, voire immoral!

Et que dire des arguments fallacieux de M le Maire: «Malgré ces augmentations, les tarifs de Saint-Sever sont encore inférieurs à nos voisins de Grenade, Mont de Marsan ou Hagetmau!»

Sauf que, les saint-séverins se contrefichent des tarifs des autres communes!

Voilà bien la preuve d’un profond mépris pour les administrés.

Et ce n’est pas fini!

M le Maire a annoncé au conseil municipal de nouvelles hausses dans les prochains mois.

Il y a fort à parier que la restauration scolaire et la gratuité de la garderie périscolaire seront dans le viseur!regardlibre

L’opposition municipale tout comme les parents d’élèves devront être vigilants.

«Il faut libérer Saint-Sever !» scandait M Tauzin et ses supporters au mois de mars …

Nous sommes d’accord … et au plus vite!

COMMERCE LOCAL, L’ECHEC TOTAL!

N’ayant rien fait de l’été, M TAUZIN et Mme DUPRAT se sont trouvés fort dépourvus quand l’automne fut venu!

01 cigallePhilosopher, dénigrer, diffamer, ça va un temps, désormais il faut agir pour le commerce et l’artisanat, au moins faire semblant, gesticuler.

Heureusement, notre Claire (voyante?) adjointe en charge du dépôt de bilan économique de notre commune a eu une idée lumineuse !

Organiser un défilé de mode!

defile_mode_fr

(cf.ci-jointe convocation à la réunion et petite leçon de commerce)

Idée à laquelle personne n’avait pensé, … Sauf à Hagetmau, Mont de Marsan ou encore Tartas pour ne citer que nos proches voisins…

Pour sûr, une bonne soirée en perspective.

Mais le sauvetage de l’économie et du commerce local attendra!

Cette élue, qui adore donner des leçons de gestion, saura encore déclamer avec suffisance et arrogance son couplet professoral à l’intention de nos commerçants: «Mais bon sang, innovez, faites de la qualité, soyez solidaires!»

Ils n’y avaient sûrement pas songé, nous les laissons apprécier le conseil !

Quoiqu’il en soit, ne nous y trompons pas !

Derrière les discours démagogiques, la réalité est tout autre : M TAUZIN et Mme DUPRAT sont les minutieux fossoyeurs de notre commerce local dont ils n’ont que faire et ne savent quoi faire ! Danse-avec-les-stars-3-l-orchestre-pas-a-la-hauteur_portrait_w532

Cela ne devrait surprendre personne.

 

En nommant madame DUPRAT comme adjoint chargée notamment de développer le commerce du centre-ville,

M TAUZIN a commis une lourde erreur de casting, une erreur tout court!

Cette dame, avant de s’essayer à l’exercice de la politique locale, a durant une trentaine d’années résolument tourné le dos au centre-ville de Saint-Sever et à son commerce. Elle a consacré toute son énergie à créer et développer le premier supermarché hors les murs; n’hésitant pas, dès que l’opportunité s’est présentée, à ouvrir son magasin tous les dimanches matin, comme une ultime banderille dans le dos de ses concurrents du centre-ville.

Aujourd’hui retirée des affaires commerciales locales, ses interventions en conseil communautaire ou autres manipulations maladroites contre les grandes surfaces installées en périphérie de la ville sonnent creux, comme sonnent creux les initiatives auxquelles elle s’essaye vers le commerce de centre-ville ou le marché.

off-switch1

Cela ne vaudra jamais acte de contrition; d’autant qu’en «off» cette adjointe déclare n’avoir jamais fait ses courses en ville à Saint-Sever et ne commencera pas maintenant!!

Et M TAUZIN n’est pas en reste, les saint-séverins doivent connaître la vérité: il s’oppose à tout développement économique de notre cité.

Spécialiste es «commerce local», M le Maire se permet en effet d’être sélectif : hors les remparts de la ville aucun investisseur ne trouve grâce à ses yeux, sous couvert de prétendues règles d’urbanisme, M le maire refuse des permis de construire et fait barrage aux projets privés, après son opposition aux projets publics.home plans

A raison, les artisans du bâtiment en manque de bons de commande sont furieux et fulminent!!

Chantres du libéralisme, voilà M le Maire et son adjointe au développement économique promus gardiens du poujadisme!

Pour eux, solidarité rime avec égoïsme, entre soi et chacun pour soi!

Bref, avec un Maire et une adjointe aux idées fixes, sans le moindre projet ou perspective pour la ville, les commerçants saint-séverins s’inquiètent chaque jour un peu plus des conséquences funestes du délire dans lequel les plongent nos deux édiles.

Image convocation (2)